dimanche 3 février 2013

La rivière sur le pont Kwaï


Où l'on s'aperçoit que le printemps n'est pas loin 
quand on se met sur la pointe des pieds, 
et qu'on sait voir... au delà de la grêle. 






















1 commentaire:

Anonyme a dit…

Belles photos, Ellie.La crue, comme la neige, dissipe les repères, réapprend à la ville même la puissance de la nature. L'homme se fait petit (si petit qu'il n'existe pas sur les photos). Je songe aussi que la crue est techouka en hébreu, que ce mot n'apparaît que trois fois dans la Bible, dont une fois dans le Cantique des cantiques : "Moi je suis à mon bien-aimé et sur moi est sa crue". J'emprunte tout ceci à Erri de Luca (Rez-de-chaussée).Bien à vous.